l'informatique
Je ne parle bien évidemment pas de ce qui était enseigné sous ce nom dans les amphithéatres, pour la première fois en deuxième année de DEUG cette année là. Ces cours de soi-disant informatique n'étaient bien entendu que des maths dont je ne me souciais même pas de quel alibi ils s'inspiraient.
L'informatique à laquelle je m'intéressais était celle qui me permettait de publier quelques articles dans les revues spécialisées qui fleurissaient alors dans les rayons des librairies comme les escargots sur les murs, la nuit après un orage.
Il y avait même certains rédacteurs en chef qui m'envoyaient un petit chèque pour ma contribution. Je pouvais par conséquent légitimement songer à faire de l'informatique mon métier.